cap frehel

Vue sur le fort La Latte

Nids de mouettes

Vue sur les deux phares du cap Fréhel

Les deux phares

Les deux phares à gauche, la tour de la sirène à droite

En mai 1694, Vauban inspecte les côtes nord de Bretagne et propose l'édification d'une tour pour avertir des attaques de la flotte anglaise.

À cette époque, le commissaire général des fortifications de Louis XIV a déjà fait construire plusieurs phares (le phare du Stiff à Ouessant, le phare des Baleines sur l'île de Ré, le phare de Chassiron à Oléron.

Tour qui abrite la sirène

L'ingénieur Siméon Garangeau reprend les plans du phare du Stiff pour construire ce premier phare allumé en 1702 (mais uniquement les mois d'hiver).

La sirène avec son détecteur de brume est située à 400 m du phare.

Elle émet deux sons toutes les minutes. Source Wikipédia

Le cap Fréhel constitue une réserve ornithologique

le long de la Côte d'Émeraude.

Vue sur le Fort la Latte

Le cap Fréhel est une pointe de grès rose au relief tourmenté qui sépare à l'est la baie de Saint-Brieuc de la Baie de St Malo, sur la côte de la Manche.

Dominant la mer de plus de 70 mètres, les falaises de schiste

et de grès rose du cap Fréhel offrent l’une des plus belles vues de Bretagne.

Site d’exception, réserve ornithologique, entre ajoncs et bruyère, la promenade mène jusqu’à l’illustre Fort la Latte.

Surplombant une mer d’émeraude, battu par les vents,

le cap Fréhel enchante par sa beauté et ses couleurs chatoyantes.

Ses falaises, à pic comme des murailles, abritent des centaines d’oiseaux nicheurs.

Le phare domine la mer de 103 m

De la pointe du Grouin jusqu’à l’île de Bréhat, le cap offre aussi 400 hectares de landes, parmi les plus vastes d’Europe.

Le phare actuel, reconstruit à partir de 1946, sera inauguré en 1950 :

haut de 32 mètres, sa lanterne domine la mer de 103 mètres.

Par temps clair, son feu est visible à plus de 100 kilomètres.

 Source Tourisme de Bretagne