divers

Adrien, un autre neveu, m’a prêté un puzzle fait d’après une photo de Nathan et de lui faite le jour de l’anniversaire du petit gars. C’est un puzzle de 500 pièces. Je n’ai pas pu résister longtemps et m’y suis mise dès l'après-midi.

Photo faite avec le flash

J’ai perdu du temps à la recherche des trois pièces manquantes pour terminer le contour. Je les ai trouvées alors que j’allais renoncer à continuer. Elles étaient tombées sous la table. Voici le résultat après ce premier essai.

J'ai terminé le puzzle jeudi dans la nuit.

Mon neveu m’a encore offert un superbe puzzle d’après une de ses photos. Je l’ai réceptionné hier. Je ne l’ai pas encore commencé par manque de temps. Je suis vraiment surprise que Catherine ait fait le sien en 1h30, alors qu’il m’a fallu presque 6h pour le faire, c’est dingue !

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Mardi dans la soirée

Une magnifique photo du quartier de la Petite Venise à Colmar faite par mon neveu Aurélien est devenue un puzzle pour Catherine.

Mercredi début de l'après-midi

J’ai réceptionné le paquet mardi afin de lui remettre ce cadeau. Fan de puzzle je n’ai pas pu résister et j’ai commencé à le faire dans la soirée.

Je l’ai terminé le lendemain dans l’après-midi.

Le puzzle terminée

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C’est dingue, mais j’aime beaucoup faire un puzzle. J’ai finalement terminé celui-ci en 6h réparties sur deux jours.

La bordure du haut est à refaire

La partie ciel m’a demandé davantage d’efforts car cette fois encore certaines pièces s’emboitaient à la mauvaise place.

Les 266 pièces sont en place

Je me suis laissé prendre à ce jeu tant et si bien que si je m’écoutais je demanderai à mon neveu de m’en envoyer un autre. Si vous êtes intéressés par l'achat d'un puzzle fait d'après une photo originale d'Aurélien Kempf, vous pouvez l'acheter sur son site dans la catégorie : Boutique

Photo prise à Colmar par Aurélien Kempf Photographe

Mon neveu, Aurélien Kempf Photographe, m’a encore offert un superbe puzzle d’après une de ses photos. J’ai commencé l’ouvrage dès réception. Trouver les bords parmi 266 pièces a été assez long. Finalement au bout de 48 mn les bords étaient en place. J’ai mis du cœur à l’ouvrage, en deux temps.

En un peu plus de trois heures je suis arrivée à faire ce qu’on voit sur la photo.

Mon neveu m’a offert un superbe puzzle d’après une de ses photos.

La photo

J’ai commencé l’ouvrage, le ciel m’a donné quelques tracas car deux, voire trois morceaux s’emboitaient dans différentes positions.

Le puzzle après 2h42

Finalement au bout de 42 mn les bords étaient en place. En moins de trois heures je suis arrivée à faire ce qu’on voit sur la photo.

Dans la même catégorie que le souvenir précédent voici ce qui m’est arrivé dans le train en revenant de Paris.

C’était toujours dans les années 70, à l’époque j’enseignais à Colmar à l’école Adolphe Hirn. Mon futur époux était finalement revenu de l’île de la Réunion, il habitait Paris et travaillait dans la région parisienne. Je le rejoignais tous les samedis par les trains Colmar-Strasbourg départ à 11h17, puis Strasbourg-Paris. J’avais juste le temps de changer de quai pour monter dans le wagon de première où ma place, dans le sens de la marche, était réservée. J’arrivais à Paris vers 17h pour repartir le lendemain à la même heure. C’est au cours d’un retour que j’ai conversé avec un illustre inconnu.

Ce soir-là le wagon de première était compartimenté et personne à bord juste ce voyageur à qui j’ai demandé si je pouvais m’installer dans son compartiment car je redoutais de rester seule dans ce train de nuit. À Nancy personne n’est monté, on est donc resté seul jusqu’à Strasbourg. Durant les 4 heures du trajet il y a eu de longs silences mais la plupart du temps on conversait. Le visage de mon interlocuteur me semblait familier mais comme de coutume ne n’ai pas réalisé qui c’était. Lorsqu’il s’est éloigné sur le quai, j’ai dit au contrôleur qui me tenait la porte : « Savez-vous qui est ce monsieur ? » Il m’a répondu que oui : « C’est le nouveau ministre de l’éducation nationale. »

Waouh ! Heureusement que je n’avais pas critiqué cette institution durant nos conversations !

Il faut que je l’admette je ne suis absolument pas physionomiste et cela me joue parfois des tours.

Je me souviens c’était dans les années 70, à l’époque je passais les vacances d’été sur l’île de la Réunion. J’étais dans l’avion du retour vers Paris. J’avais sympathisé avec mon voisin qui me semblait familier, mais je ne savais pas qui c’était. On était assis à gauche dans la partie de l’avion où il n’y avait que deux sièges côte à côte. On a papoté une grande partie du voyage de choses et d’autres. On a ri, on a échangé des opinions des idées etc. tant et si bien que le temps a vite passé. À l’arrivée, non sans me dire au revoir, ce compagnon de vol fort agréable s’est précipité vers la sortie de l’avion. J’en ai profité pour demander à l’hôtesse de l’air qui il était. Elle était étonnée de cette question car elle nous avait observés lors de nos échanges verbaux. Elle m’a répondu : « Votre comportement m’a fait penser que vous étiez de vieux amis jamais je ne me serais doutée que vous ne saviez pas que votre interlocuteur était Pierre Perret. »

Mon amie Simone m'a envoyé une image qui illustre un souhait que j'aimerais réalisable en cette période difficile pour tous et toutes.