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Fuchsias

Hier on a fêté l’anniversaire du gendre de Gaby.

Philippe le gendre de Gaby

Pour ce faire, deux tables ont été installées au jardin afin de recevoir dignement les sept convives.

Hibiscus des régions tempérées

Le déjeuner gargantuesque a été préparé par Gaby

Gaby et Mathieu

pour les diverses crudités et les frites,

son gendre et un petit fils en tant que maîtres queue au barbecue,

Le dessert

sa fille Véronique comme sommelière.

Groseilles

En somme quatre personnes responsables du repas et trois tire-au-flanc.

Arum

C’est-à-dire la maman de Philippe, son beau-père et moi.

On a bu du champagne durant l’apéritif puis un délicieux bordeaux au repas.

Géranium

Le dessert, un succulent saint-Honoré, a été préparé par un pâtissier

Hibiscus sinensis fermé

qui a du mal avec l’orthographe des noms propres,

Hibiscus sinensis ouvert

comme on le remarque sur la photo du gâteau.

Une plante grasse

Philippe a été gâté, entre autre il a reçu une enceinte ultra moderne connectée. Du coup le repas s’est déroulé en musique avec des airs de Glenn Miller, Nat King Cole, Ella Fitzgerald, Sydney Bechet.

Jasmin étoilé ?

Waouh que des airs de notre jeunesse ! Merci Mathieu pour ce super choix. 

La semaine dernière les cerises avaient muri davantage.

Gaby et moi en ont cueillies sur l’arbre et mises en bouche directement.

Un réel délice ! Les fleurs des hortensias, genre Annabelle

et autre s’étaient ouvertes, voire avaient pris de la couleur.

Les fleurs du dipladénia rouge en avaient fait autant.

Les jours passant le jardin s’embellissait.

Dans le petit potager les tomates avaient des fleurs.

Une rose trémière avait ouvert une fleur qui se cachait entre les feuilles.

Le jardin de Gaby cache toujours des "trésors".

Entre deux plantes j'ai découvert un coq et sa poulette.

Un plant de fleurs ballon

Comme je ne peux pas aller chez Gaby à cause du confinement,

elle me permet d’en profiter par photos interposées.

Petit cactus est en fleurs, généralement il fleurit en juin

Son gendre s’est dévoué pour faire les photos des nouvelles plantes.

Un superbe arum

Véronique m’a envoyées les clichés.

Bougainvillée aux bractées blanches

Je partage avec vous ces petits bonheurs. 

Laurier rose

Géranium

Pétunia ou campanule

Géranium

Hibiscus

Bennwihr en 1950

 Les derniers sinistrés quitteront leurs baraques en septembre 1959

Village en reconstruction avec le village provisoire en haut à gauche

et la consécration de la nouvelle église le 6 juin 1960, lundi de Pentecôte, marquera le dernier acte de la reconstruction du village. Source Wikipédia

Restaurant " Au Cerf", lieu de rencontre et de détente du village provisoire

Bennwihr 1946

Il faudra attendre la fin de l'offensive alliée contre la poche de Colmar avec en particulier la prise de Houssen le 26 janvier 1945 et l'arrivée sur le canal de Colmar des unités alliées le 27 janvier pour que le village soit enfin à l'abri des coups. Au lendemain de la libération de Colmar (2 février 1945), la population disséminée sur 24 communes peut revenir à Bennwihr où elle découvre un immense champ de ruines jonché de cadavres. Le village est entièrement détruit à l'exception de son monument aux morts, appelée Monument de la Fidélité.

En mai 1946, les premiers baraquements d'un village provisoire sont attribués aux villageois.

Bennwihr 1er août 1948

Lors de sa première visite à Bennwihr, le 1er août 1948, le Général de Gaulle a dit : "Nulle part je n'ai vu chose pareille, Bennwihr est le village le plus sinistré de France"

Entrée sud du village entièrement détruit

Le mardi 5 décembre 1944, vers 9 heures du matin, les premiers obus frappent Bennwihr. La population se réfugie dans les caves où la survie va s'organiser au fur et à mesure de la longueur des combats.

Symbole des durs combats

Le 13 décembre, une vigoureuse contre-offensive allemande échoue mais Bennwihr reste sur la ligne de front et demeure le théâtre de contre-attaques et de destructions considérables. Du 14 au 17 décembre, la majeure partie de la population réussit à quitter le village sous les bombardements par petits groupes vers Ingersheim puis Colmar.

Le centre du village anéanti

Le 19 décembre le 143^e régiment d'infanterie U.S. avant de laisser sa place au 15^e régiment d'infanterie U.S. a réussi à s'emparer des quartiers nord de Bennwihr, mais les Allemands s'accrochent au centre et au sud du village. Du 20 au 22 décembre, les patrouilles du 15^e R.I. US se heurtent partout à un ennemi retranché et déterminé. Une attaque en force des Américains le 23 décembre est repoussée.

Destruction totale

Une nouvelle attaque déclenchée le 24 décembre rencontre un premier succès déterminant et peut se poursuivre méthodiquement par un nettoyage des ruines qui arrache finalement le village aux Allemands. Source Wikipédia

Corps de Garde et Mairie

En 1939, Bennwihr est à l'abri de la ligne Maginot.

Grand'rue - Presbytère à droite

Le village héberge un centre mobilisateur qui devient un dépôt de matériels au profit d'un groupe d'artillerie.

Restaurant - Boucherie - Épicerie Baechtel

Il sert également de cantonnement à plusieurs unités françaises engagées dans la garde du Rhin.

Église Saints Pierre-et-Paul - Fontaine au centre du village

 Le 15 juin 1940, les Allemands lancent l'opération Kleiner Bär, franchissent le Rhin et percent la ligne de défense à Marckolsheim.

Cœur du village - Bascule communale

Le 16 juin, les autorités françaises demandent à tous les hommes valides de 15 à 55 ans de se présenter à Belfort. Le 17 juin, les Allemands entrent dans Bennwihr. Source Wikipédia

La vigne vierge met son habit d'automne

Par cette belle journée d’automne je partais en excursion

avec les membres du club de Bennwihr et les amis des villages des alentours.

Comme j’étais trop tôt au rendez-vous du départ du bus j’ai fait une petite balade autour de la mairie.

J’ai vu la lune sur le toit de cette dernière,

clin d’œil au surnom des habitants du village appelés attrapeurs de lune.

Petit partage avec vous.

J’étais invitée chez Gaby et Roland dès l’heure du déjeuner

afin que je puisse observer la multitude

de moineaux et de tourterelles qui viennent se restaurer.

Hélas cette fois encore les volatiles étaient peu nombreux.

Je ne pense pas que la chaleur était en cause.

Quoi que !

J’ai remarqué le manège d’une tourterelle qui m’observait.

Est-ce moi qui effrayais les oiseaux qui

souvent faisaient un passage en rase motte.

Trois couples de tourterelles ont finalement fait escale à la mangeoire tandis que d’autres n’osaient pas s’approcher.

Les plus nombreux étaient les moineaux.

Ingersheim est une commune de la banlieue colmarienne.

Mercredi j’ai été invitée par une personne formidable que je connais grâce aux rendez-vous chez le coiffeur.

Elle m’a reçue d’une manière grandiose dans son jardin.

Café servi dans des tasses originales, éclairs à la vanille et aux fraises accompagnés de glace au citron.

Campanule

Le tout à l’ombre d’un vieux pommier et de deux parasols.

L’atmosphère estivale (plus de 30°), était rafraîchie par les jets d’eau qui jaillissaient d’un tourniquet.

Hibiscus européen

On a papoté durant des heures grâce à la bonne ambiance et aux boissons fraiches.

Pétunias

Au fur et à mesure des bavardages l’amitié s’installait.

Chèvre feuille

J’ai vraiment apprécié ce moment de partages.

Groseilles