roses
Roses du jardin

Depuis la transformation de la villa et la construction du garage, il ne reste pas grand-chose du jardin. Seules subsistent les étroites bandes de terre qui longent les clôtures de la propriété.
C’est là que mon père a planté des rosiers en 1958. Depuis, bien entretenus par un de mes frères, les rosiers fleurissent chaque année.
Toujours des roses
Les rosiers fleurissent,
chaque jour de nouveaux boutons s’épanouissent.
C’est merveilleux !
Encore des roses
De temps en temps je vais prendre l’air au balcon.
C’est ainsi que j’ai surpris un petit chien en promenade avec sa maîtresse.
J’ai photographié les roses du petit jardin qui borde la maison.
Comme il fait chaud et qu’il ne pleut pas les fleurs s’épanouissent trop vite.
Je partage avec vous ces quelques clichés.
Les roses de mon jardin
De belles fleurs pour illustrer les péripéties survenues hier. Mon frère est un homme au poids conséquent il dépasse largement les 100 kilos.
Hier le médecin a jugé nécessaire qu’il aille voir le chirurgien spécialisé pour les plaies dues au diabète. Cela fait cinq semaines que les infirmières viennent tous les jours pour panser son pied mais rien n’y fait.
On habite au premier sans ascenseur donc difficile de le faire descendre alors qu’il ne peut pas poser son pied au sol. Le médecin a appelé plusieurs organismes, impossible de trouver une ambulance pour le transporter à l’hôpital Albert Schweitzer.
J’ai appelé le 15 et même le 18 ; réponses aux deux numéros « on ne se déplace pas pour amener quelqu’un qui a un RDV chez un médecin ». Je suis donc descendu au garage pour sortir ma voiture. Lorsque je suis remontée j’ai trouvé mon frère allongé dans la ruelle. Il était tombé du lit, s’était cogné la tête et cassé les lunettes. Impossible pour moi de l‘aider à se relever, il ne pouvait pas se mettre sur ses genoux douloureux.
J’ai rappelé les pompiers ils ont hésité à venir car ne voulait toujours pas le conduire à Schweitzer. Finalement mon neveu est rentré du travail, à l’aide de sa femme et de son père ils ont réussi à lever le « blessé ».
Les pompiers sont venus malgré tout, ils ont aidé mon frère à descendre les 26 marches et l’ont installé dans ma voiture. Ils pouvaient l’emmener aux urgences de Pasteur mais pas à l’hôpital Albert Schweitzer. Finalement le RDV chez le chirurgien s’est transformé en hospitalisation.
Quelques fleurs en ce dimanche de confinement
Pas facile de photographier les roses qui s’épanouissent sous mon balcon.
Qu’à cela ne tienne j’ai fait pour le mieux.
J’ai depuis juillet 1980 un bouquet de glaïeuls en tissus dans ma chambre, une manière comme une autre pour garnir un grand vase en cristal.
Avec le temps j’y ai ajouté des roses.